Adieu les cons
Dupontel renoue avec son univers acidulé pour notre plus grand plaisir.
Dupontel renoue avec son univers acidulé pour notre plus grand plaisir.
La suite du "Dernier train pour Busan" manque son rendez-vous avec un public plein d'attentes.
Sous couvert de l'horreur, "Relic" théorise habillement autour de la vieillesse et de la dépendance aux autres.
Sophie Deraspe transpose le mythe d'Antigone à notre époque avec beaucoup de justesse.
"Antebellum" tente de s'engouffrer dans la brèche de la nouvelle école de l'horreur avec lourdeur.